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Du nouveau dans la gestion du port de plaisance de La Ciotat

Si la Métropole a la gestion du nouveau port, la partie carénage sera en délégation de service public.

Si la Métropole a la gestion du nouveau port, la partie carénage sera en délégation de service public.

Photo Nicolas Vallauri

La Ciotat

Géré par la Métropole Aix-Marseille-Provence, le nouveau port de La Ciotat fait l’objet d’une délégation de service public pour l’exploitation de trois de ses services : sa zone de carénage, sa déchetterie et sa station-service. Qu’est-ce que cela implique ?

Vous ne le saviez peut-être pas mais le Port Vieux de La Ciotat est départemental. Sauf que c’est la société La Ciotat Shipyard, des Chantiers navals, qui en a vraiment la gestion, sous concession. Tandis que pour les autres ports de la commune, le port Sain-Jean, les Capucins, et le nouveau port aussi appelé "port de plaisance", c’est la Métropole qui gère. Ça, c’est posé là, histoire de ne pas s’emmêler les pinceaux.

Et désormais, il y a du nouveau concernant le port de plaisance, le long du boulevard Anatole-France. L’appel d’offres pour une délégation de service public vient d’être publié la semaine dernière. Cette DSP concerne la gestion et l’exploitation des services d’avitaillement, de grutage, de carénage et de services complémentaires du port, comme son espace déchetterie et eaux usées ou sa station-service.

"La station essence était déjà gérée par une société privée, explique Richard Molines conseiller municipal, délégué aux affaires maritimes et portuaires. Et la Métropole a profité de la fin de ce contrat pour lancer un nouvel appel d’offres et y ajouter les deux autres services déchetterie et carénage, dont elle avait la gestion."

"Améliorer le service et simplifier la gestion"

L’objectif pour la Métropole ? "Continuer d’améliorer le service aux plaisanciers", avance la collectivité lors du conseil métropolitain le 18 avril dernier, et "simplifier la gestion de trois services avec un seul et même interlocuteur", ajoute le conseiller municipal.

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